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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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  • Évangile : « Il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts » (Jn 20, 1-9)

    31 mars

    Acclamation : (cf. 1 Co 5, 7b-8a)

    Alléluia. Alléluia.
    Notre Pâque immolée, c’est le Christ !
    Célébrons la Fête dans le Seigneur !
    Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    Le premier jour de la semaine,
    Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ;
    c’était encore les ténèbres.
    Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau.
    Elle court donc trouver Simon-Pierre
    et l’autre disciple,
    celui que Jésus aimait,
    et elle leur dit :
    « On a enlevé le Seigneur de son tombeau,
    et nous ne savons pas où on l’a déposé. »
    Pierre partit donc avec l’autre disciple
    pour se rendre au tombeau.
    Ils couraient tous les deux ensemble,
    mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre
    et arriva le premier au tombeau.
    En se penchant, il s’aperçoit que les linges sont posés à plat ;
    cependant il n’entre pas.
    Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour.
    Il entre dans le tombeau ;
    il aperçoit les linges, posés à plat,
    ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus,
    non pas posé avec les linges,
    mais roulé à part à sa place.
    C’est alors qu’entra l’autre disciple,
    lui qui était arrivé le premier au tombeau.
    Il vit, et il crut.
    Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas compris
    que, selon l’Écriture,
    il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

     

    Au lieu de cet Évangile, on peut lire celui qui a été lu à la Veillée pascale.
    Pour la messe du soir de Pâques, on peut aussi lire l’Évangile de Luc 24,13-35 ci-dessous.

  • Évangile : « Reste avec nous car le soir approche » (Lc 24, 13-35)

    31 mars

    Acclamation : (cf. 1 Co 5, 7b-8a)

    Alléluia. Alléluia.
    Notre Pâque immolée, c’est le Christ !
    Célébrons la Fête dans le Seigneur !
    Alléluia. 

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine),
    deux disciples faisaient route
    vers un village appelé Emmaüs,
    à deux heures de marche de Jérusalem,
    et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.

    Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient,
    Jésus lui-même s’approcha,
    et il marchait avec eux.
    Mais leurs yeux étaient empéchés de le reconnaître.
    Jésus leur dit :
    « De quoi discutez-vous en marchant ? »
    Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
    L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit :
    « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem
    qui ignore les événements de ces jours-ci. »
    Il leur dit :
    « Quels événements ? »
    Ils lui répondirent :
    « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth,
    cet homme qui était un prophète
    puissant par ses actes et ses paroles
    devant Dieu et devant tout le peuple :
    comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré,
    ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
    Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
    Mais avec tout cela,
    voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
    À vrai dire, des femmes de notre groupe
    nous ont remplis de stupeur.
    Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau,
    elles n’ont pas trouvé son corps ;
    elles sont venues nous dire
    qu’elles avaient même eu une vision :
    des anges, qui disaient qu’il est vivant.
    Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau,
    et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ;
    mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
    Il leur dit alors :
    « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire
    tout ce que les prophètes ont dit !
    Ne fallait-il pas que le Christ
    souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
    Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes,
    il leur interpréta, dans toute l’Écriture,
    ce qui le concernait.

    Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient,
    Jésus fit semblant d’aller plus loin.
    Mais ils s’efforcèrent de le retenir :
    « Reste avec nous,
    car le soir approche et déjà le jour baisse. »
    Il entra donc pour rester avec eux.

    Quand il fut à table avec eux,
    ayant pris le pain,
    il prononça la bénédiction
    et, l’ayant rompu,
    il le leur donna.
    Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent,
    mais il disparut à leurs regards.
    Ils se dirent l’un à l’autre :
    « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous,
    tandis qu’il nous parlait sur la route
    et nous ouvrait les Écritures ? »
    À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem.
    Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons,
    qui leur dirent :
    « Le Seigneur est réellement ressuscité :
    il est apparu à Simon-Pierre. »
    À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route,
    et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux
    à la fraction du pain.

    – Acclamons la Parole de Dieu. 

  • Le Samedi saint, l'Église demeure auprès du tombeau dans le silence

    30 mars
  • Pour la veillée pascale, voir au Dimanche de Pâques

    30 mars
  • Première lecture : « C’est à cause de nos fautes qu’il a été broyé » (Is 52, 13 – 53, 12)

    29 mars

    Lecture du livre du prophète Isaïe

    Mon serviteur réussira, dit le Seigneur ;
    il montera, il s’élèvera, il sera exalté !
    La multitude avait été consternée en le voyant,
    car il était si défiguré
    qu’il ne ressemblait plus à un homme ;
    il n’avait plus l’apparence d’un fils d’homme.
    Il étonnera de même une multitude de nations ;
    devant lui les rois resteront bouche bée,
    car ils verront ce que, jamais, on ne leur avait dit,
    ils découvriront ce dont ils n’avaient jamais entendu parler.

    Qui aurait cru ce que nous avons entendu ?
    Le bras puissant du Seigneur, à qui s’est-il révélé ?
    Devant lui, le serviteur a poussé comme une plante chétive,
    une racine dans une terre aride ;
    il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards,
    son aspect n’avait rien pour nous plaire.
    Méprisé, abandonné des hommes,
    homme de douleurs, familier de la souffrance,
    il était pareil à celui devant qui on se voile la face ;
    et nous l’avons méprisé, compté pour rien.
    En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait,
    nos douleurs dont il était chargé.
    Et nous, nous pensions qu’il était frappé,
    meurtri par Dieu, humilié.
    Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé,
    à cause de nos fautes qu’il a été broyé.
    Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui :
    par ses blessures, nous sommes guéris.
    Nous étions tous errants comme des brebis,
    chacun suivait son propre chemin.
    Mais le Seigneur a fait retomber sur lui
    nos fautes à nous tous.

    Maltraité, il s’humilie,
    il n’ouvre pas la bouche :
    comme un agneau conduit à l’abattoir,
    comme une brebis muette devant les tondeurs,
    il n’ouvre pas la bouche.
    Arrêté, puis jugé, il a été supprimé.
    Qui donc s’est inquiété de son sort ?
    Il a été retranché de la terre des vivants,
    frappé à mort pour les révoltes de son peuple.
    On a placé sa tombe avec les méchants,
    son tombeau avec les riches ;
    et pourtant il n’avait pas commis de violence,
    on ne trouvait pas de tromperie dans sa bouche.
    Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur.
    S’il remet sa vie en sacrifice de réparation,
    il verra une descendance, il prolongera ses jours :
    par lui, ce qui plaît au Seigneur réussira.

    Par suite de ses tourments, il verra la lumière,
    la connaissance le comblera.
    Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes,
    il se chargera de leurs fautes.
    C’est pourquoi, parmi les grands, je lui donnerai sa part,
    avec les puissants il partagera le butin,
    car il s’est dépouillé lui-même
    jusqu’à la mort,
    et il a été compté avec les pécheurs,
    alors qu’il portait le péché des multitudes
    et qu’il intercédait pour les pécheurs.

    – Parole du Seigneur.

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