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Saint(e) du jour

Tous les saints du jour

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Articles

  • Épiphanie du Seigneur -

    6 janvier, par contact@nominis.cef.fr
    En ce jour, nous célébrons la sainte Épiphanie de notre Seigneur, Dieu et Sauveur Jésus-Christ, lorsqu'il se fit connaître aux mages venus de l'Orient. C'est l'adoration de ces mages qui constitue, en Occident, l'objet principal de cette fête. La liturgie de l'Église latine, là où ce jour n'est pas férié, reporte la célébration de cette fête au dimanche le plus proche*, afin que le plus grand nombre des fidèles puissent la commémorer dignement. * dimanche 8 janvier en 2023 et le 7 janvier en 2024...Les Églises d'Orient célèbrent de même la sainte Théophanie, au jour de son baptême dans le Jourdain lorsqu'eut lieu la manifestation de la divinité du Christ et la première claire révélation du Mystère de la Sainte Trinité. Le Père et le Saint-Esprit rendirent alors témoignage que Jésus est vraiment le Fils Unique de Dieu, consubstantiel au Père, Verbe Incarné pour notre salut, Sauveur annoncé par les prophètes et qu'en sa personne la Divinité s'est unie sans mélange à notre humanité et l'a fait resplendir de sa Gloire.Illustration: Épiphanie du Seigneur, Chapelle Notre-Dame de Consolation, Costebelle, Hyères (Var)- Du grec épiphanéia: 'apparition' - de épiphainéin: 'paraître ou briller sur'. La Solennité de l'Épiphanie célèbre la manifestation de Jésus comme Messie. (site portail de l'Église catholique en France)- La fête de l'Épiphanie sur le site du cybercuré.- L'Épiphanie du Seigneur, La légende dorée du bienheureux Jacques de Voragine.Le 6 janvier 2011 pour l'Epiphanie, Benoît XVI a célébré la messe en la Basilique vaticane, rappelant à l'homélie que les mages "étaient probablement des savants qui ne scrutaient pas simplement le ciel pour lire l'avenir dans les astres... mais des hommes en recherche de la lumière véritable qui peut guider nos vies. Certains de ce qu'on peut lire la marque de Dieu dans la création, ils pensaient que l'homme peut y déchiffrer sa main... Homme de pouvoir, Hérode... est antipathique. Notre jugement négatif vient de sa brutalité. Y aurait-il quelque chose d'Hérode en nous? Ne voyons-nous pas parfois Dieu comme un rival? Peut être sommes-nous également aveugles face à ses signaux, sourds à ses paroles car nous pensons qu'il limite nos vies et nous empêche de vivre à notre convenance. En voyant ainsi Dieu, nous devenons insatisfaits et mécontents, en refusant de nous laisser guider par celui qui est à la base de toute chose. Il faut libérer notre esprit et notre cœur de cette idée de rivalité. Il ne faut plus croire que faire place à Dieu signifie réduire la nôtre. Nous devons nous ouvrir à lui car il est certainement l'amour tout puissant qui n'enlève rien et ne menace rien, mais est le seul capable de nous faire vivre pleinement, de nous offrir la joie véritable". Puis le Pape a dit que les mages "savaient que c'est avec les yeux de la raison, du sens ultime de la réalité, et d'un désir de Dieu animé par la foi, non avec des télescopes, qu'il devient possible de s'approcher de Dieu. L'univers ne découle pas du chaos, comme certains le veulent faire croire. En le contemplant, nous sommes invités à y lire quelque chose de profond, la sagesse du Créateur, l'infini amour et imagination de Dieu à propos de l'homme. Ne laissons pas nos esprits être limités par des théories incomplètes qui, sans concurrencer la foi ne peuvent expliquer le sens profond de la réalité. Dans la beauté, dans le mystère et la grandeur du monde, comment ne pas lire la raison éternelle. Laissons-nous guider par cette raison vers le Dieu unique, créateur du ciel et de la terre. Ainsi verrons nous à travers le Créateur celui qui, né à Bethléem, continue de vivre parmi nous dans l'Eucharistie. Dieu vivant, il nous aime et nous appelle à la vie éternelle... Pour les mages, il était logique de chercher au palais royal le nouveau roi... mais c'est parmi les pauvres et les humbles que l'étoile les conduisit pour rencontrer le roi du monde. Les critères divins différent de ceux des hommes, et Dieu ne se manifeste pas dans ce monde par la puissance, mais dans l'humilité d'un amour qui réclame de notre liberté qu'elle se transforme pour joindre celui qui n'est qu'amour". Rappelant enfin que les mages durent écouter la voix de l'Ecriture car elle est la seule indication de la voie à suivre, Benoît XVI a dit que la Parole est l'étoile véritable. Dans l'imprécision des débats humains elle nous fournit la splendeur de la vérité... Laissons-nous donc conduire par cette étoile, suivons-la en cheminant avec l'Eglise, où la Parole a planté sa tente. Notre chemin est éclairé par une lumière qu'aucun autre signe ne saurait donner. Ainsi pourrons-nous aussi devenir des étoiles pour autrui, en reflétant la lumière que le Christ a fait briller sur nous". (source: VIS 20110107 570)
  • Sainte Angèle de Foligno - Pénitente italienne (+ 1310)

    4 janvier, par contact@nominis.cef.fr
    Née à Foligno en Ombrie, dans une famille riche, elle est mariée toute jeune par ses parents et elle connaît alors une vie mondaine et frivole qui lui fait abandonner la pratique des sacrements. Subitement convertie, elle voudrait bien se confesser, mais elle n'ose avouer toutes ses fautes au confesseur. Elle s'en va communier et reste tourmentée par cette communion sacrilège. C'est à ce moment-là qu'elle reçoit la vision de saint François d'Assise, mort vingt ans avant sa propre naissance. Elle multiplie alors les austérités, médite de longues heures, distribue aux pauvres ce qu'elle possède et passe pour folle aux yeux des siens. Et puis, elle perd coup sur coup, sa mère, son époux, ses fils. Elle se livre alors à la pauvreté absolue. Des visions du Christ crucifié lui font atteindre les sommets de la mystique dans des crises violentes qui effraient ses amis. Les Frères Mineurs, disciples de saint François, se méfient d'elle d'autant qu'elle prend part aux controverses qui opposent, dans l'Ordre, les partisans d'une pauvreté mitigée et ceux d'une application stricte de l'idéal franciscain primitif. Les dernières années de sa vie seront plus paisibles, favorisées de grâces extraordinaires. "Elle semblait jouir du bonheur céleste." Le 13 octobre 2010, Benoît XVI a tracé un portrait de sainte Angèle de Foligno. Si on reste fasciné, a-t-il dit, "par les sommets de son expérience d'union avec Dieu, on néglige souvent les débuts de sa conversion, le long cheminement qui a conduit" cette mystique italienne (1248 - 1309) "de sa grande peur de l'Enfer à son union trinitaire". Née dans une famille aisée, elle reçut une éducation mondaine, se maria jeune et eut plusieurs enfants. Mais sa vie fut marquée par des drames, le violent séisme de 1279, la guerre de sa ville contre la voisine Perugia, qui remirent en question sa vie même. En 1285, elle eut une vision de saint François qui la porta à accomplir une confession générale. Après la disparition rapide de sa famille, trois ans plus tard, elle quitta ses biens pour entrer dans le tiers ordre franciscain.L'histoire d'Angèle est connue grâce à la biographie de son confesseur, qui rapporte sa "terreur initiale de l'Enfer. Cela correspondait -a souligné le Pape- au type de foi qu'elle avait au moment de sa conversion, encore pauvre de charité et d'amour de Dieu. Crainte, repentance et pénitence avaient poussé Angèle vers la douloureuse perspective de la croix". Sa conversion la mit sur la voie de l'amour... Elle se sentit en devoir d'offrir quelque chose à Dieu afin de racheter ses péchés, comprenant peu à peu qu'elle n'avait rien d'autre à donner, se sentant nulle face à lui. Elle comprit que ce ne serait pas sa volonté mais son amour qui lui donnerait l'amour de Dieu. La volonté ne pouvait qu'offrir son vide... Ainsi comprit-elle la profondeur de la réalité centrale qui était se sauver de l'indignité et de la peine de l'Enfer, et que ...cela ne viendrait pas de la connaissance de la vérité mais du Christ crucifié pour elle". La conversion de sainte Angèle de Foligno, a conclu le Saint-Père, grandie par son immersion dans les souffrances du Crucifié, est "parvenue à maturation lorsque le pardon divin lui apparut comme don gratuit de l'amour du Père... Dans son cheminement spirituel, le passage de la conversion à l'expérience mystique, où l'inexplicable s'explique, s'est produit à travers le Christ en croix. Toute sa vie mystique tendit à la parfaite ressemblance avec lui, par des transformations et des purifications de plus en plus profondes... Son identification au Christ signifia également vivre dans la prière et le secret ce que Jésus vécut, la pauvreté, le mépris, la souffrance". (VIS 20101013 440)À Foligno en Ombrie, l'an 1310, la bienheureuse Angèle qui, après la mort de son époux et de ses fils, suivit les traces de saint François, se consacra entièrement à Dieu et confia au livre de sa vie les hautes expériences de sa vie mystique.
  • Sainte Geneviève - Vierge à Paris (+ v. 500)

    3 janvier, par contact@nominis.cef.fr
    Elle est née à Nanterre vers 420. Alors qu'elle a sept ans, l'évêque saint Germain d'Auxerre, de passage, la remarque et la consacre à Dieu. C'est dans le monde qu'elle mènera sa vie consacrée. En 451, les Huns menacent Paris. Geneviève persuade les parisiens affolés que les Barbares n'attaqueront pas la ville et qu'il est inutile de fuir. En effet Paris est épargné. Puis ce sont les Francs qui viennent l'assiéger. Geneviève s'échappe par la Seine et va quérir du ravitaillement jusqu'à Troyes. Plus tard, elle jouit de la confiance des rois francs et obtient d'eux la grâce des condamnés. Elle se lia d'amitié avec sainte Clotilde. Sa réputation est telle qu'elle se répand jusqu'en Syrie où saint Syméon le Stylite, du haut de sa colonne, se recommande à ses prières. Elle passera sa vie à secourir les pauvres et guérir les malades. - illustration, paroisse Sainte-Geneviève, Asnières-sur-SeineElle est la patronne du diocèse de Nanterre où elle est née.Femme forte, paisible et de grande autorité, femme qui sut rétablir l'ordre et la paix de la cité au cours des pires épreuves, Geneviève reste un repère et un exemple pour tous les gendarmes dans leur labeur, en même temps qu'elle intercède pour eux.Par décret en date du 18 mai 1962, le pape Saint Jean XXIII a solennellement désigné sainte Geneviève comme patronne de la Gendarmerie, dont il avait pu apprécier les engagements et le sens du service comme nonce apostolique à Paris, peu auparavant.Au calendrier de l'Église, la fête de sainte Geneviève figure au 3 janvier qui correspond à la date de sa mort, c'est-à-dire de sa naissance au ciel. Cependant, cette date n'étant pas favorable au rassemblement des gendarmes requis par cette célébration, elle est célébrée par la gendarmerie au 26 novembre, qui correspond à la fête de Sainte Geneviève des Ardents, instituée par le pape Innocent II pour le diocèse de Paris en l'honneur des miracles de guérison de la peste opérés à l'invocation de la sainte en cette ville en l'an 1130. La gendarmerie étant une unité dont les origines sont liées à l'histoire de la ville de Paris, cette date paraît particulièrement bien convenir. (Diocèse aux Armées françaises)Voir aussi: Sainte Geneviève (v. 420 - v. 500), patronne de Paris - diocèse de Paris.À Paris, vers l'an 500, la mise au tombeau de sainte Geneviève, vierge de Nanterre, qui, à l'âge de quinze ans, reçut le voile des vierges à l'invitation de saint Germain d'Auxerre. Elle réconforta les habitants de la cité lors de l'invasion des Huns, et vint en aide à ses concitoyens pendant une famine.
  • Saint Grégoire de Nazianze - Patriarche de Constantinople, docteur de l’Église (+ 390)

    2 janvier, par contact@nominis.cef.fr
    Basile de Césarée et Grégoire de Nazianze sont tous deux nés en Cappadoce. Basile dans une famille de dix enfants qui deviendront presque tous des saints. Saint Grégoire est né dans le foyer d'un juif converti qui deviendra évêque. Ils se rencontrent à Athènes, lors de leurs études, et désormais ils se lient d'une grande amitié. La même foi et le même désir de perfection animent les deux étudiants. De retour en Cappadoce, ils font des projets monastiques, mais l'Eglise a besoin d'évêques dynamiques en cette période troublée par les hérésies. Basile devient évêque de Césarée. Saint Grégoire finira solitaire, composant d'admirables poèmes que la liturgie utilise encore.- Saints Basile le Grand et Grégoire Nazianze, évêques et docteurs de l'Eglise (VaticanNews)Mémoire des saints Basile le Grand et Grégoire de Naziance, évêques et docteurs de l'Église. Basile, évêque de Césarée en Cappadoce, appelé Grand pour sa doctrine et sa sagesse, enseigna aux moines la méditation des Écritures, le labeur de l'obéissance et la charité fraternelle. Il organisa leur vie par des règles qu'il avait lui-même rédigées. Par ses écrits excellents, il instruisit les fidèles et se distingua par son souci pastoral des pauvres et des malades. Il mourut le premier janvier 379. Grégoire, son ami, évêque successivement de Sasimes, de Constantinople et de Naziance, défendit avec beaucoup d'ardeur la divinité du Verbe, ce qui lui valut d'être appelé le Théologien. Il mourut le 25 janvier 390. L'Église se réjouit de célébrer la mémoire conjointe de si grands docteurs.
  • Sainte Marie, mère de Dieu - (Ier siècle)

    1er janvier, par contact@nominis.cef.fr
    Huit jours après la Nativité du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, nous célébrons sa Mère, celle qui lui a donné son être humain, corps et âme par l'Esprit-Saint qui vient sur elle la plaçant dans l'orbite de la paternité divine. C'est pourquoi le concile d'Ephèse en 431, la proclama la Theotokos, la Mère de Dieu, puisque son fils est Dieu, ce qui ne préjuge pas de la différence entre Marie créature humaine et Jésus Fils éternel de Dieu.(illustration: Marie enseignante, église de Quincay, Vienne)En l'Octave de la Nativité du Seigneur et au jour de sa circoncision, solennité de sainte Marie Mère de Dieu. Au concile d'Ephèse, les Pères l'acclamèrent Théotokos, parce que, en elle, le Verbe prit chair et le Fils de Dieu habita parmi les hommes, lui, le prince de la paix, à qui a été donné le nom au dessus de tout nom.

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