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Saint(e) du jour

Tous les saints du jour

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Articles

  • Bienheureuse Bénédicte - Clarisse à Saint-Damien, succéda à sainte Claire (+ 1260)

    16 mars, par contact@nominis.cef.fr
    Elle rejoignit sainte Claire au couvent de Saint Damien à Assise. Elle lui succéda, en donnant l'exemple d'une constante régularité et d'une stricte pauvreté. Illustration extraite du pied de la croix qui est au-dessus de l'autel de la Basilique Sainte-Claire d'Assise.Un internaute nous signale qu'elle figure sous l'appellation 'Bienheureuse' dans les "Acta Sanctorum" des Bollandistes (à défaut d'être mentionnée dans le Martyrologe Romain).
  • Sainte Françoise Romaine - Pénitente romaine (+ 1440)

    9 mars, par contact@nominis.cef.fr
    A treize ans, parce qu'elle était de bonne noblesse romaine, elle dut épouser Lorenzo de Ponziani. Ils formèrent un ménage parfait, amoureux et paisible. Pour le public, elle était une merveilleuse maîtresse de maison et une grande dame dans ses réceptions. Mais elle réservait à Dieu ses conversations les plus longues, dans le petit oratoire au fond de son jardin. Elle acceptait avec une joie paisible les charges d'épouse et de mère de famille. Devenue veuve, elle se retira dans la petite congrégation des Oblates de saint Benoît qu'elle venait de fonder pour les dames romaines qui voulaient s'adonner à la prière et aux bonnes œuvres. Elle mourut chez elle en soignant son fils malade.Illustration - La charité de Françoise soutenue par les miracles de Dieu: celui du vin (Abbaye d'Abu-Gosh) - Un internaute nous signale le vitrail du chœur de l'église de Créot 71490 (GoogleMaps) représentant sainte Françoise Romaine "Toute sa vie Françoise manifesta une charité active envers les pauvres et les malades ainsi qu’un grand souci de réforme des mœurs, loin d’être exemplaires à cette époque. Elle fonda une maison de charité et fut canonisée en 1608. Elle était la patronne de la «Confrérie des Dames de la Miséricorde» érigée à Chalon en 1638." (pastorale du tourisme diocèse d'Autun)- Le monastère fondé par sainte Françoise Romaine (site en italien)Mémoire de sainte Françoise Romaine, religieuse. Mariée toute jeune, elle vécut quarante ans dans le mariage, épouse et mère de famille parfaite, admirable de piété, d'humilité et de patience. En période de calamités, elle distribua ses biens aux pauvres, soigna les malades et, après la mort de son mari, elle se retira parmi les oblates qu'elle avait rassemblées sous la Règle de saint Benoît, et mourut en 1440.
  • Saintes Perpétue et Félicité - Martyres à Carthage (+ 203)

    7 mars, par contact@nominis.cef.fr
    Perpétue est une jeune patricienne, Félicité une jeune esclave. Elles avaient toutes deux demandé le baptême à l'évêque de Carthage. L'empereur Septime Sévère ayant interdit le christianisme, le groupe des catéchumènes, dont elles faisaient partie, est arrêté, avec Sature, Saturnin, Révocat et Secondule. Pendant plusieurs mois, ils connurent la prison dans des conditions très dures, d'autant qu'ils étaient dans l'incertitude du sort exact qui les attendait. Félicité était enceinte et Perpétue, jeune mariée, allaitait son enfant. Le père de la jeune femme tenta en vain de la faire sacrifier aux dieux au nom de l'amour maternel. Quant à Félicité, elle mit au monde une petite fille dans sa prison. Trois jours après la naissance, elle était martyrisée et l'enfant fut adoptée par une chrétienne de la ville. Comme leurs compagnons, Perpétue et Félicité furent livrées aux bêtes du cirque, enveloppées dans un filet, et livrées à une vache furieuse. Elles attirèrent la pitié des spectateurs devant ces jeunes mères torturées. On les acheva en les égorgeant. Selon les "acta" de leur martyre, des témoins disaient :"Leur visage était rayonnant et d'une grande beauté. Il était marqué non de peur mais de joie." Le culte des deux jeunes femmes connut très vite une grande popularité : leur jeunesse, leur situation de mère de famille, leur courage, le fait qu'elles soient des catéchumènes les font figurer en tête des martyres mentionnées dans la première prière eucharistique de la liturgie latine. Un internaute nous signale: "Sainte Perpétue est la patronne de la ville de Vierzon dans le Cher."Sainte Perpétue de Carthage à Vierzon...Elles sont fêtées le 1er février pour les Eglises d'Orient.Chaque année le dimanche le plus proche du 7 mars, un pèlerinage est organisé à Vierzon par la Fraternité Sainte Perpétue. Voir aussi Sainte Perpétue de Carthage à Vierzon...Le 7 mars, au martyrologe romain, mémoire des saintes martyres Perpétue et Félicité. En 203, sous l'empereur Septime Sévère, elles furent arrêtées à Carthage avec de jeunes catéchumènes. Perpétue était l'une d'elles, patricienne d'environ vingt-deux ans, mère d'un enfant à la mamelle; Félicité était une esclave; comme elle était enceinte, elle devait, d'après les lois, attendre d'avoir enfanté; elle gémissait dans les douleurs à l'heure de l'enfantement, mais se réjouissait d'être exposée aux bêtes. Elles s'avancèrent de la prison à l'amphithéâtre, le visage radieux, comme pour le ciel.
  • Saint Guénolé - Fondateur de l’abbaye de Landévennec (+ 504)

    3 mars, par contact@nominis.cef.fr
    C'était au temps où les Bretons quittaient leur île, devant les envahisseurs saxons pour gagner l'Armorique. Winwalloë, fils de dame Gwen et d'un notable gallois, naît près de Saint-Brieuc. On le confie à saint Budoc qui tient une école monastique sur l'île Lavret (archipel de Bréhat). A 24 ans, saint Patrick d'Irlande lui apparaît en le priant de fonder un nouveau monastère. Il part avec 11 compagnons et se fixe d'abord sur l'îlot de Tibidi au fond de la rade de Brest, puis sur la rive opposée de l'Aulne, à Lantowinnoc, Landévennec actuellement. Après sa mort, son culte se répand en Cornouaille bretonne et britannique. Dans l'abbaye de Landévennec, les moines ne manquent pas d'invoquer chaque soir "leur père saint Guénolé." De très nombreuses paroisses de Bretagne sont placées sous son patronage en particulier Batz-sur-Mer. - illustration, Saint Gwenolé, abbé de Landévennec (diocèse de Quimper et Léon).Si l'on affirme traditionnellement que saint Guénolé est le fondateur de l'abbaye de Landévennec en 485, d'un point de vue historique son nom n'apparaît pour la première fois, sous la forme Win-Walloë, que dans le cartulaire de Landévennec où Gurdisten, vers 860, raconte sa vie dans un récit amplement hagiographique. Il est cependant possible de remonter un peu plus haut dans le temps si l'on admet que l'origine toponymique de Landévennec dérive de ce prénom. Le nom 'Landévennec' viendrait de Lan-towinnoc dérivant de lan-to-winwalloë, signifiant le lan (enclos monastique) du bienheureux Walloë, c'est-à-dire, le Lan de saint Guénolé. Comme la lettre de Louis le Pieux attestant sa rencontre avec l'abbé de Landévennec en 818 parle du 'monasterio Landeuinnoch' on tiendrait là un témoignage du tout début du IXe siècle attestant qu'un monastère portant le nom de saint Guénolé est déjà solidement implanté en ce lieu. - L'abbaye Saint-Guénolé - LandévennecEn Cornouaille d'Armorique, au VIe siècle, saint Guénolé, premier abbé de Landévennec, qui fut, dit-on, disciple de saint Budoc dans l'île Lavret et illustra à Landévennec la règle monastique.
  • Saint Grégoire de Narek - Moine au monastère de Narek, docteur de l’Église (+ v. 1005)

    27 février, par contact@nominis.cef.fr
    Né en Arménie près du lac de Van, le jeune Grégoire perd sa mère; son père décide alors d'entrer au couvent, confiant son fils au monastère de Narek, où il est élevé par son grand-oncle. Passionné pour l'étude, le jeune moine lit les Pères de l'Église arménienne ainsi que les traductions des Pères grecs. Des jaloux l'accusent d'hérésie. Pour lui tendre un piège, on lui apporte un pâté, un jour de jeûne. Il rend la liberté aux oiseaux cuits et ceux-ci s'envolent emportant avec eux sa réputation d'hérétique. Sa renommée se répand. On lui demande de nombreux écrits. Actuellement encore, ses 'Élégies sacrées' où s'exprime son expérience mystique, constituent le principal livre de prière de l'Église arménienne.Illustration: Grégoire de Narek rédigeant son fameux 'livre des lamentations' tableau d'Advast Berberian vers 1960 - Musée Melik - Le moine «chanteur» de Marie, le 2 février 2021, décret inscrivant la mémoire facultative de trois docteurs de l'Église: Grégoire de Narek, Jean d'Avila et Hildegarde de Bingen au Calendrier romain.- Saint Grégoire de Narek, qui a vécu au Xe siècle, est une figure centrale de l'histoire arménienne; ses abondants écrits, composés de poèmes, hymnes et de commentaires bibliques, tiennent encore aujourd'hui une place prépondérante dans la littérature nationale. Théologien, mystique, il est également le 36e docteur de l'Église; proclamé comme tel par le Pape François lors d'une messe célébrée en la Basilique Saint-Pierre pour les fidèles de rite arménien, le 12 avril 2015, à l'occasion du centenaire du Metz Yeghern, le 'grand mal', qui a frappé le peuple arménien, première nation chrétienne de l'Histoire. Cette célébration, intense et émouvante, avait mis en évidence la fraternité entre l'Église catholique et les différentes Églises de l'Arménie. Saint Grégoire de Narek, fêté le 9 octobre dans l'Église arménienne, le 27 février dans l'Église latine, est le deuxième docteur de l'Église à provenir de l'Orient, après Saint Ephrem Le Syrien, proclamé en 1920 par le Pape Benoît XV.Le Pape François, entouré de Karékine II et d'Aram Ier, inaugure la statue de St Grégoire de Narek dans les jardins du Vatican, le 5 avril 2018.- Ce moine mystique arménien du Xe siècle est connu pour son recueil de prières de près de 20 000 vers... Il devient le second docteur de l'Eglise à provenir d'une Eglise orientale après Ephrem le Syrien, élevé au doctorat en 1920 par Benoît XV.Saint Grégoire de Narek, nouveau docteur de l'Eglise (Radio Vatican le 11 avril 2015)- L'architecture du Livre de Lamentation de Grégoire de Narek Au monastère de Narets en Arménie, vers 1005, saint Grégoire, moine, docteur des Arméniens, illustre par sa doctrine, ses écrits et sa connaissance mystique.

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