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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Évangile : Il se fit reconnaître par eux à la fraction du pain (Lc 24, 13-35)

    3 avril

    Acclamation : (Ps 117, 24)

    Alléluia. Alléluia.
    Voici le jour que fit le Seigneur,
    qu’il soit pour nous jour de fête et de joie !
    Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine),
    deux disciples faisaient route
    vers un village appelé Emmaüs,
    à deux heures de marche de Jérusalem,
    et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.

    Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient,
    Jésus lui-même s’approcha,
    et il marchait avec eux.
    Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
    Jésus leur dit :
    « De quoi discutez-vous en marchant ? »
    Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
    L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit :
    « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem
    qui ignore les événements de ces jours-ci. »
    Il leur dit :
    « Quels événements ? »
    Ils lui répondirent :
    « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth,
    cet homme qui était un prophète
    puissant par ses actes et ses paroles
    devant Dieu et devant tout le peuple :
    comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré,
    ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
    Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
    Mais avec tout cela,
    voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
    À vrai dire, des femmes de notre groupe
    nous ont remplis de stupeur.
    Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau,
    elles n’ont pas trouvé son corps ;
    elles sont venues nous dire
    qu’elles avaient même eu une vision :
    des anges, qui disaient qu’il est vivant.
    Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau,
    et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ;
    mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
    Il leur dit alors :
    « Esprits sans intelligence !
    Comme votre cœur est lent à croire
    tout ce que les prophètes ont dit !
    Ne fallait-il pas que le Christ
    souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
    Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes,
    il leur interpréta, dans toute l’Écriture,
    ce qui le concernait.

    Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient,
    Jésus fit semblant d’aller plus loin.
    Mais ils s’efforcèrent de le retenir :
    « Reste avec nous,
    car le soir approche et déjà le jour baisse. »
    Il entra donc pour rester avec eux.

    Quand il fut à table avec eux,
    ayant pris le pain,
    il prononça la bénédiction
    et, l’ayant rompu, il le leur donna.
    Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent,
    mais il disparut à leurs regards.
    Ils se dirent l’un à l’autre :
    « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous,
    tandis qu’il nous parlait sur la route
    et nous ouvrait les Écritures ? »
    À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem.
    Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons,
    qui leur dirent :
    « Le Seigneur est réellement ressuscité :
    il est apparu à Simon-Pierre. »
    À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route,
    et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux
    à la fraction du pain.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Convertissez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ » (Ac 2, 36-41)

    2 avril

    Lecture du livre des Actes des Apôtres

    Le jour de la Pentecôte, Pierre disait à la foule :
    « Que toute la maison d’Israël le sache donc avec certitude :
    Dieu l’a fait Seigneur et Christ,
    ce Jésus que vous aviez crucifié. »
    Les auditeurs furent touchés au cœur ;
    ils dirent à Pierre et aux autres Apôtres :
    « Frères, que devons-nous faire ? »
    Pierre leur répondit :
    « Convertissez-vous,
    et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ
    pour le pardon de ses péchés ;
    vous recevrez alors le don du Saint-Esprit.
    Car la promesse est pour vous,
    pour vos enfants
    et pour tous ceux qui sont loin,
    aussi nombreux que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
    Par bien d’autres paroles encore,
    Pierre les adjurait et les exhortait en disant :
    « Détournez-vous de cette génération tortueuse,
    et vous serez sauvés. »

    Alors, ceux qui avaient accueilli la parole de Pierre
    furent baptisés.
    Ce jour-là, environ trois mille personnes
    se joignirent à eux.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (32 (33), 4-5, 18-19, 20.22)

    2 avril

    Refrain psalmique : (cf. 32, 5b)

    Toute la terre, Seigneur,
    est remplie de ton amour.
    ou : Alléluia !

    Oui, elle est droite, la parole du Seigneur ;
    il est fidèle en tout ce qu’il fait.
    Il aime le bon droit et la justice ;
    la terre est remplie de son amour.

    Dieu veille sur ceux qui le craignent,
    qui mettent leur espoir en son amour,
    pour les délivrer de la mort,
    les garder en vie aux jours de famine.

    Nous attendons notre vie du Seigneur :
    il est pour nous un appui, un bouclier.
    Que ton amour, Seigneur, soit sur nous
    comme notre espoir est en toi !

  • Évangile : « “J’ai vu le Seigneur !”, et elle raconta ce qu’il lui avait dit » (Jn 20, 11-18)

    2 avril

    Acclamation : (Ps 117, 24)

    Alléluia. Alléluia.
    Voici le jour que fit le Seigneur,
    qu’il soit pour nous jour de fête et de joie !
    Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    Marie Madeleine se tenait près du tombeau,
    au-dehors, tout en pleurs.
    Et en pleurant,
    elle se pencha vers le tombeau.
    Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc,
    assis l’un à la tête et l’autre aux pieds,
    à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus.
    Ils lui demandent :
    « Femme, pourquoi pleures-tu ? »
    Elle leur répond :
    « On a enlevé mon Seigneur,
    et je ne sais pas où on l’a déposé. »
    Ayant dit cela, elle se retourna ;
    elle aperçoit Jésus qui se tenait là,
    mais elle ne savait pas que c’était Jésus.
    Jésus lui dit :
    « Femme, pourquoi pleures-tu ?
    Qui cherches-tu ? »
    Le prenant pour le jardinier, elle lui répond :
    « Si c’est toi qui l’as emporté,
    dis-moi où tu l’as déposé,
    et moi, j’irai le prendre. »
    Jésus lui dit alors :
    « Marie ! »
    S’étant retournée, elle lui dit en hébreu :
    « Rabbouni ! »,
    c’est-à-dire : Maître.
    Jésus reprend :
    « Ne me retiens pas,
    car je ne suis pas encore monté vers le Père.
    Va trouver mes frères pour leur dire
    que je monte vers mon Père et votre Père,
    vers mon Dieu et votre Dieu. »
    Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples :
    « J’ai vu le Seigneur ! »,
    et elle raconta ce qu’il lui avait dit.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité ; nous tous, nous en sommes témoins » (Ac 2, 14.22b- 33)

    1er avril

    Lecture du livre des Actes des Apôtres

    Le jour de la Pentecôte,
    Pierre, debout avec les onze autres Apôtres,
    éleva la voix et leur fit cette déclaration :
    « Vous, Juifs,
    et vous tous qui résidez à Jérusalem,
    sachez bien ceci,
    prêtez l’oreille à mes paroles.
    Il s’agit de Jésus le Nazaréen,
    homme que Dieu a accrédité auprès de vous
    en accomplissant par lui des miracles, des prodiges
    et des signes au milieu de vous,
    comme vous le savez vous-mêmes.
    Cet homme, livré selon le dessein bien arrêté et la prescience de Dieu,
    vous l’avez supprimé
    en le clouant sur le bois par la main des impies.
    Mais Dieu l’a ressuscité
    en le délivrant des douleurs de la mort,
    car il n’était pas possible qu’elle le retienne en son pouvoir.
    En effet, c’est de lui que parle David dans le psaume :
    Je voyais le Seigneur devant moi sans relâche :
    il est à ma droite, je suis inébranlable.
    C’est pourquoi mon cœur est en fête,
    et ma langue exulte de joie ;
    ma chair elle-même reposera dans l’espérance :
    tu ne peux m’abandonner au séjour des morts
    ni laisser ton fidèle voir la corruption.
    Tu m’as appris des chemins de vie,
    tu me rempliras d’allégresse par ta présence.

    Frères, il est permis de vous dire avec assurance,
    au sujet du patriarche David,
    qu’il est mort, qu’il a été enseveli,
    et que son tombeau est encore aujourd’hui chez nous.
    Comme il était prophète, il savait que Dieu lui avait juré
    de faire asseoir sur son trône un homme issu de lui.
    Il a vu d’avance la résurrection du Christ,
    dont il a parlé ainsi :
    Il n’a pas été abandonné à la mort,
    et sa chair n’a pas vu la corruption.

    Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité ;
    nous tous, nous en sommes témoins.
    Élevé par la droite de Dieu,
    il a reçu du Père l’Esprit Saint qui était promis,
    et il l’a répandu sur nous,
    ainsi que vous le voyez et l’entendez. »

    – Parole du Seigneur.

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