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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Psaume (68 (69), 8-10, 21-22, 31.33-34)

    27 mars

    Refrain psalmique : (68, 14cb)

    Dans ton grand amour, Dieu, réponds-moi ;
    c’est l’heure de ta grâce.

    C’est pour toi que j’endure l’insulte,
    que la honte me couvre le visage :
    je suis un étranger pour mes frères,
    un inconnu pour les fils de ma mère.
    L’amour de ta maison m’a perdu ;
    on t’insulte, et l’insulte retombe sur moi.

    L’insulte m’a broyé le cœur,
    le mal est incurable ;
    j’espérais un secours, mais en vain,
    des consolateurs, je n’en ai pas trouvé.
    À mon pain, ils ont mêlé du poison ;
    quand j’avais soif, ils m’ont donné du vinaigre.

    Mais je louerai le nom de Dieu par un cantique,
    je vais le magnifier, lui rendre grâce.
    Les pauvres l’ont vu, ils sont en fête :
    « Vie et joie, à vous qui cherchez Dieu ! »
    Car le Seigneur écoute les humbles,
    il n’oublie pas les siens emprisonnés.

  • Évangile : « Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit ; mais malheureux celui par qui il est livré ! » (Mt 26, 14-25)

    27 mars

    Acclamation :

    Louange à toi, Seigneur,
    Roi d’éternelle gloire !

    Salut, ô Christ notre Roi :
    obéissant au Père,
    comme l’agneau vers l’abattoir
    tu te laisses conduire à la croix.
    Louange à toi, Seigneur,
    Roi d’éternelle gloire !

    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

    En ce temps-là,
              l’un des Douze, nommé Judas Iscariote,
    se rendit chez les grands prêtres
              et leur dit :
    « Que voulez-vous me donner,
    si je vous le livre ? »
    Ils lui remirent trente pièces d’argent.
              Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable
    pour le livrer.

              Le premier jour de la fête des pains sans levain,
    les disciples s’approchèrent et dirent à Jésus :
    « Où veux-tu que nous te fassions les préparatifs
    pour manger la Pâque ? »
              Il leur dit :
    « Allez à la ville, chez untel,
    et dites-lui :
    “Le Maître te fait dire :
    Mon temps est proche ;
    c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque
    avec mes disciples.” »
              Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit
    et ils préparèrent la Pâque.

              Le soir venu,
    Jésus se trouvait à table avec les Douze.
              Pendant le repas, il déclara :
    « Amen, je vous le dis :
    l’un de vous va me livrer. »
              Profondément attristés,
    ils se mirent à lui demander, chacun son tour :
    « Serait-ce moi, Seigneur ? »
              Prenant la parole, il dit :
    « Celui qui s’est servi au plat en même temps que moi,
    celui-là va me livrer.
                       Le Fils de l’homme s’en va,
    comme il est écrit à son sujet ;
    mais malheureux celui
    par qui le Fils de l’homme est livré !
    Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né,
    cet homme-là ! »
              Judas, celui qui le livrait,
    prit la parole :
    « Rabbi, serait-ce moi ? »
    Jésus lui répond :
    « C’est toi-même qui l’as dit ! »

                     – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Je fais de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre » (Is 49, 1-6)

    26 mars

    Lecture du livre du prophète Isaïe

    Écoutez-moi, îles lointaines !
    Peuples éloignés, soyez attentifs !
    J’étais encore dans le sein maternel
    quand le Seigneur m’a appelé ;
    j’étais encore dans les entrailles de ma mère
    quand il a prononcé mon nom.
              Il a fait de ma bouche une épée tranchante,
    il m’a protégé par l’ombre de sa main ;
    il a fait de moi une flèche acérée,
    il m’a caché dans son carquois.
              Il m’a dit :
    « Tu es mon serviteur, Israël,
    en toi je manifesterai ma splendeur. »
              Et moi, je disais :
    « Je me suis fatigué pour rien,
    c’est pour le néant, c’est en pure perte
    que j’ai usé mes forces. »
    Et pourtant, mon droit subsistait auprès du Seigneur,
    ma récompense, auprès de mon Dieu.
              Maintenant le Seigneur parle,
    lui qui m’a façonné dès le sein de ma mère
    pour que je sois son serviteur,
    que je lui ramène Jacob,
    que je lui rassemble Israël.
    Oui, j’ai de la valeur aux yeux du Seigneur,
    c’est mon Dieu qui est ma force.
              Et il dit :
    « C’est trop peu que tu sois mon serviteur
    pour relever les tribus de Jacob,
    ramener les rescapés d’Israël :
    je fais de toi la lumière des nations,
    pour que mon salut parvienne
    jusqu’aux extrémités de la terre. »

                            – Parole du Seigneur.

  • Psaume (70 (71), 1-2, 3, 5a.6, 15ab.17)

    26 mars

    Refrain psalmique : (cf. 70, 15ab)

    Ma bouche annonce ton salut, Seigneur.

    En toi, Seigneur, j’ai mon refuge :
    garde-moi d’être humilié pour toujours.
    Dans ta justice, défends-moi, libère-moi,
    tends l’oreille vers moi, et sauve-moi.

    Sois le rocher qui m’accueille,
    toujours accessible ;
    tu as résolu de me sauver :
    ma forteresse et mon roc, c’est toi !

    Seigneur mon Dieu, tu es mon espérance,
    Toi, mon soutien dès avant ma naissance,
    tu m’as choisi dès le ventre de ma mère ;
    tu seras ma louange toujours !

    Ma bouche annonce tout le jour
    tes actes de justice et de salut ;
    Mon Dieu, tu m’as instruit dès ma jeunesse,
    jusqu’à présent, j’ai proclamé tes merveilles.

  • Évangile : « L’un de vous me livrera… Le coq ne chantera pas avant que tu m’aies renié trois fois » (Jn 13, 21-33.36-38)

    26 mars

    Acclamation :

    Louange à toi, Seigneur,
    Roi d’éternelle gloire !

    Salut, ô Christ, notre Roi :
    obéissant au Père ;
    comme l’agneau vers l’abattoir,
    tu te laisses conduire à la croix.
    Louange à toi, Seigneur,
    Roi d’éternelle gloire !

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    au cours du repas que Jésus prenait avec ses disciples,
              il fut bouleversé en son esprit,
    et il rendit ce témoignage :
    « Amen, amen, je vous le dis :
    l’un de vous me livrera. »
              Les disciples se regardaient les uns les autres avec embarras,
    ne sachant pas de qui Jésus parlait.
              Il y avait à table, appuyé contre Jésus,
    l’un de ses disciples, celui que Jésus aimait.
              Simon-Pierre lui fait signe de demander à Jésus
    de qui il veut parler.
              Le disciple se penche donc sur la poitrine de Jésus
    et lui dit :
    « Seigneur, qui est-ce ? »
              Jésus lui répond :
    « C’est celui à qui je donnerai la bouchée
    que je vais tremper dans le plat. »
    Il trempe la bouchée,
    et la donne à Judas, fils de Simon l’Iscariote.
              Et, quand Judas eut pris la bouchée,
    Satan entra en lui.
    Jésus lui dit alors :
    « Ce que tu fais, fais-le vite. »
              Mais aucun des convives ne comprit
    pourquoi il lui avait dit cela.
              Comme Judas tenait la bourse commune,
    certains pensèrent que Jésus voulait lui dire
    d’acheter ce qu’il fallait pour la fête,
    ou de donner quelque chose aux pauvres.
              Judas prit donc la bouchée, et sortit aussitôt.
    Or il faisait nuit.

              Quand il fut sorti, Jésus déclara :
    « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié,
    et Dieu est glorifié en lui.
                       Si Dieu est glorifié en lui,
    Dieu aussi le glorifiera ;
    et il le glorifiera bientôt.

                       Petits enfants,
    c’est pour peu de temps encore
    que je suis avec vous.
    Vous me chercherez,
    et, comme je l’ai dit aux Juifs :
    “Là où je vais,
    vous ne pouvez pas aller”,
    je vous le dis maintenant à vous aussi. »

              Simon-Pierre lui dit :
    « Seigneur, où vas-tu ? »
    Jésus lui répondit :
    « Là où je vais,
    tu ne peux pas me suivre maintenant ;
    tu me suivras plus tard. »
              Pierre lui dit :
    « Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre à présent ?
    Je donnerai ma vie pour toi ! »
              Jésus réplique :
    « Tu donneras ta vie pour moi ?
    Amen, amen, je te le dis :
    le coq ne chantera pas
    avant que tu m’aies renié trois fois. »

                            – Acclamons la Parole de Dieu.

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